J'ai pris le temps de lire le programme du candidat Taillon.
Je me suis particulièrement interressé à la section sur les relations avec le fédéral.
Toutes de très belle demandes, mais absolument rien de nouveau ou rien qui n'a pas déjà été demandé soit par les péquistes et même les libéraux de Jean Lesage à l'époque du "Maître chez nous".
Je me demande encore comment l'ADQ va faire pour obtenir tous ça du fédéral, surtout qu'eux ce souvienne encore de la position de l'ADQ lors du dernier référemdum.
Et d'ailleurs qu'elle sera la position de l'ADQ lors d'un prochain référemdum????
Je ne sais pas quelle sera la position de l'ADQ au prochain référendum, et l'ADQ ne semble pas être en mesure de le dire maintenant, puisque l'ADQ ne s'entend pas sur ce qu'est le fameux "autonomisme".
RépondreEffacerSur cyberpresse, on peut lire ce matin l'éditorialiste André Pratte qui lui a la réponse (comme d'habitude... #sarcasme).
Le positionnement ambigu du parti au sujet de l’avenir politique du Québec continue de poser problème. Pendant le débat, M. Lévesque a accusé M. Caire d’être «fédéraliste». Est-ce censé être une insulte? Les adéquistes devront bien un jour admettre qu’être autonomiste sans être fédéraliste, ça n’a pas de sens. L’autonomie des états constituants, c’est un principe clé du fédéralisme. L’autonomie sans la fédération, c’est l’indépendance.
Dans le cas qui nous occupe, je pense que Pratte a raison. L'autonomisme passe par la fédération. Les libéraux de Jean Charest ne font aucune demande au fédéral car ils connaissent déjà la réponse. Ils savent que cette réponse ferait les choux gras du partie québécois.
RépondreEffacerLes adéquistes pensent pouvoir réussir la ou les autres parties ont échoués depuis plus de 40 ans et particulièrement depuis 1981.